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In extremis !



La vie quotidienne des balinais est ponctuée de rituels sacrés plus ou moins longs. Le plus courant est l’Odalan, riche en couleurs et en décorations bariolées. Les balinais, hommes, femmes et enfants, portent un costume traditionnel. Les femmes emmènent les offrandes au temple en les portant sur la tête. Après la prière, les fidèles effectuent des aspersions d’eau et reçoivent du riz béni qu’ils appliquent généralement entre les sourcils, au niveau du front, en signe de remerciement aux Dieux pour la nourriture qu’ils prodiguent chaque jour.






Après l’ascension du Rinjani (voir article précédent), on a quitté nos joyeux compagnons et on est descendu dans le Sud de Lombok, où nous avons notamment fait la rencontre d’un couple d’indonésiens et leur amie Jane, tous vraiment adorables, chez qui nous avons passé une nuit. Pri et Ani nous ont accueillis à bras ouverts, et Alex a même profité d’un cours de cuisine dispensé avec douceur et affection :).



Au menu du cours de cuisine : le tempe mendoan


Jane



Pri et Ani …





Après une huitaine de jours passés sur Lombok, on a repris un ferry en direction de Bali pour en parcourir cette fois le nord.



Le Capitaine Cui et l’Amiral Cui-Cui veillent à la bonne marche du bateau






Les villages du nord de Bali bénéficient de très jolis environs innervés par d’étroites routes serpentant entre les rizières.






Ce n’est que le 23 juin au soir que, par un pur hasard, on s’est aperçu que notre visa arrivait à expiration le 25 et que, si l’on restait sur le territoire une fois cette échéance passée, on devrait payer des amendes très, très salées (de l’ordre de 50 euros par jour supplémentaire passé sur le territoire !).

On s’est rendus dans un bureau d’immigration pour faire prolonger notre visa, mais celui qui nous a été délivré à l’entrée dans le pays n’était pas renouvelable … on nous a alors gentiment fait comprendre que, dans 24 heures, nous ne serions définitivement plus les bienvenus sur le territoire indonésien. Quelle aventure … On regrette sincèrement de n’avoir pu nous rendre comme prévu sur Java et Sumatra, mais l’on se console en remettant ce projet à plus tard. Après tout, ce sera l’occasion d’un nouveau voyage.


Ni une, ni deux, on a foncé à l’aéroport et, à la manière des personnages de films américains, on s’est présentés au comptoir en demandant le premier vol à disposition, le moins cher (ça, par contre, on ne l’entend pas dans les films américains). J’ai toujours rêvé de faire ça !!!! hihihi.


Et nous voici donc, contre toute attente, en partance pour le Cambodge.




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